Rencontre avec le Reïki.

Publié le par Brigitte Lesigne

Depuis longtemps en perte d’énergie en raison de mes soucis de santé je cherchais le moyen de me régénérer sans malmener mon corps par des séances de sport hors de ma portée de toute façon.

Fragilisée par un passé familial douloureux, j’avais besoin de reprendre confiance en moi. De tourner la page sur un tas de pensées néfastes. D’aller de l’avant aussi.

J’ai commencé à faire des recherches sur le sujet, lu divers articles sur les pratiques en énergétiques et tenté ma chance avec le Reïki. Pourquoi ? Je ne sais pas. Parfois, il faut se laisser guider par son instinct, tout simplement. Quelque chose en moi que j’ai su écouter m’y a poussé. Peut-être tout simplement parce que j’avais lu quelque part que les soins Reïki avaient pour vocation de permettre une harmonisation globale du corps, des émotions et du mental en dénouant les nœuds de la circulation énergétique.

Retrouver la paix, la sérénité, c’était mon but.

Pour mémoire, le Reïki est une tradition ancienne du Japon redécouverte dans les années 1900, importée tout d’abord aux États-Unis et pratiquée en France depuis les années 1980.

C’est un travail énergétique par imposition des mains qui, pratiqué régulièrement, accompagne le développement personnel.

Alors, je me suis lancée, j’ai pris contact avec un maître Reïki et pu après quelque temps, quand je me suis sentie prête, passé mon premier degré.

J’ai ensuite pratiqué très régulièrement, quasi quotidiennement, et puis les séances se sont espacées, elles ne m’étaient plus nécessaires au quotidien. J’avais trouvé mon point d’équilibre. Lorsque je me sens parfois en perte de vitesse, fatiguée ou que je ressens des doutes, je m’accorde cette pause. J’ai su apprendre à être à l’écoute de mon corps.

À présent, je sens qu’il est temps pour moi, je me fixe cet objectif aux beaux jours, de passer mon second degré afin de partager cette paix, cette harmonisation, ce bien-être, cette détente.

Là encore, il faut laisser du temps au temps. Depuis que j’ai passé le premier degré, je perçois que la période hivernale n’est pas la meilleure pour passer ce cap. J’aspire à pouvoir, comme pour ma première initiation, profiter de la nature pleinement, m’aérer, m’oxygéner, profiter des premiers rayons du soleil. Dès les beaux jours annoncés je reprendrai donc contact avec ma formatrice afin de passer cette étape qui me permettra à mon tour d’apporter apaisement mental, relaxation profonde.

Renforcer son système immunitaire afin d’éloigner la maladie ou de la ralentir, équilibrer la circulation énergétique afin de soulager les douleurs et les tensions, procurer la détente et la sérénité, quel joli postulat, ne trouvez-vous pas ? Si pour moi, fibromyalgique, cela a fonctionné, m’a permis de continuer à aller de l’avant, de reprendre des études, d’écrire, d’être de nouveau réceptive à tous les possibles de ma vie, de me forger un mental solide qui me permet d’être debout malgré la maladie, cela peut fonctionner pour d’autres.

Je ne vous dirais pas que c’est un remède miracle, que cela a supprimé ma maladie, mais je suis debout jour après jour et j’ai envie de profiter de la vie, je suis curieuse à 52 ans comme je l’étais à 20 ans et même bien plus. C’est pourquoi malgré mon âge je souhaite reprendre des études, écrire ma vie en pleine conscience dans un registre qui me correspond. Je laisse le passé derrière, je regarde l’avenir, qui sera bien différent, harmonieux, centré sur l’essentiel : vivre, prendre conscience de cette chance extraordinaire qu’est le simple fait d’être en vie, de profiter de joies simples, respirer la nature, profiter des petits bonheurs du quotidien. J’ai laissé derrière moi la compétitivité, les chiffres, le désir d’être toujours et toujours plus performante. Je suis comme je suis, je m’accepte telle que je suis, je me respecte, je respecte mon corps, je le choie, je le bichonne et j’ai envie de partager tout cela avec ceux qui en ont besoin. « Passeuse d’émotions » je suis devenue, à travers ma façon d’être, mes écrits. L’émotion se cache dans le quotidien aussi, dans de petits riens, une promenade au fil de l’eau, cueillir un bouquet de fleurs, tester une nouvelle recette de cuisine, sourire aux gens que l’on croise, aller vers les autres et tendre la main… comme je le fais avec vous aujourd’hui en partageant mon ressenti en toute simplicité.

Avec le Reïki, on se sent bien dans sa peau… hé oui, c’est possible. Chaque jour je positive… Une chance incroyable je trouve.

Rencontre avec le Reïki.

Publié dans Bien-être

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