Ecrire pour... grandir, vibrer et guérir, un jour après l’autre.

Écrire a toujours été une des composantes de ma vie, depuis ma plus tendre enfance, depuis que j’ai su lire et commencé à dévorer le plus de livres possible.

Enfant discrète, effacée, introvertie, je me suis créé un monde imaginaire fait de poésie.

Puis j’ai grandi, tenu mon journal intime à l’âge ingrat de l’adolescence. Je l’éclatais aussi en cours de français. J’en ai noirci des pages, j’étais prolixe.

C’est à cette époque aussi que j’ai commencé à poétiser, une passion qui m’a poursuivie très longtemps, en secret, jusqu’à ce que je décide enfin de me faire éditer pour la première fois en 2007.

Depuis, je n’ai plus jamais cessé de taquiner la muse. En 2012, j’ai même sauté le pas en faisant éditer mon premier roman. J’ai goûté alors aux aléas de l’édition. Jusqu’à cette date en effet je fonctionnais sous le principe de l’auto-édition et je m’en sortais plutôt bien, certains lecteurs m’ont fait l’honneur de me suivre tout au long de mon parcours.

Pour ce roman « Adèle », j’avais envie de rentrer dans la cour des grands. Là aussi les lecteurs furent au rendez-vous et cela m’a permis de prendre confiance en moi. Quel challenge en effet de passer ce cap. Depuis, après certaines déconvenues avec mes deux éditeurs successifs, je cherche encore la perle rare. Adèle a repris le chemin de l’auto-édition en attendant un contrat sérieux.

Je travaille sur la suite « Patricia, le choix d’une vie… » et sur un projet de thriller « Dans l’ombre du démon… »

Un projet de nouvelles pour enfants illustrées est en cours, les histoires sont écrites, ma fille travaille dès que ses études le permettent, sur les illustrations, elle prépare en effet un Bachelor Vidéo Game Art, le monde du dessin est son univers à elle depuis l’enfance.

Et puis, je me suis essayée aussi à la nouvelle érotique, on est auteur ou on ne l’est pas, il faut savoir sortir des sentiers battus.

Mon cinquième recueil de poésie vient de paraître également. Que de projets me direz-vous. Oui, c’est ce qui m’aide aussi à avancer, à oublier la douleur de la fibromyalgie.

Il faut vivre, intensément, faire ce que l’on aime pour être en harmonie avec soi-même et retrouver son équilibre. L’écriture participe à quête d’harmonie nécessaire à mon équilibre.

Je vous souhaite à vous aussi de trouver l’acte créatif qui vous permettra de trouver l’apaisement, qui vous fera grandir, vibrer et guérir, un jour après l’autre.